Une revue où l'on parle autant des femmes d'autrefois, comme la reine pharaon Hatshepsout, que des navigatrices comme Helen MacArthur, des cinéastes telle Sofia Coppola etc.
Une revue non féministe, mais féminine, où l'on retrouve les femmes dissidentes qui offrent leur vie pour la paix du monde : Anna Politkovskaia, Aung San Suu Kyi ou Ingrid Bettancour.
Une revue où l'on découvre, dans chaque n°, un cahier sur un pays à travers ses femmes d'hier et d'aujourd'hui. N°1 : l'Egypte. N°2 : Israël. N°3 : le Japon.
Une revue traduite en anglais, comme il n'en existe pas au monde.
Une revue qui n'a toujours pas de diffuseur et qui en cherche un.
Une revue qui n'apprend aux femmes à maigrir, à s'acheter des vêtements trop chers pour elles ou à garder les amants qu'elles n'ont jamais eus, mais simplement à retrouver les plus géniales d'entre elles. Qui leur parle de ce qu'elles sont, envers et contre tou(s)t.
Une revue qui accueille dans chaque n° la parole d'un homme remarquable, au cours d'un long entretien sur les femmes. Ou sur tout autre sujet.
Une revue à 10€ que l'on garde et que l'on peut relier pour avoir, à terme, une véritable généalogie du monde au féminin, comme on n'en a jamais fait.
A bientôt, la suite...
La Dame de ses pensées de Cécilia Dutter, roman d’amour épistolaire entre un homme mûr et une femme d’esprit très moderne. Douleur et plaisir. Fin inattendue. Style délicieusement gourmand. Premier numéro de la collection « Papillons de nuit » que j’ai créée cette année.
La Prophétie de la rivière de Olympia Alberti, longue incantation d’amour de Dieu d’une ancienne esclave noire ayant subi tous les outrages, en Virginie, au XIXe siècle. Olympia Alberti poète et mystique.
Les Pendus de Emilie de Turckheim, le roman de Gaston, clochard céleste, ivre de vin et d’amour. Papa poule d’un Julien en fuite et soupirant fou de Mariette. La misère en goguette, d’une voix rageuse et amoureuse. Avec des mots tombés du ciel.
Légendes du Tibet de Natacha R. Kimberly, où circule, à l’état brut, l’âme tibétaine que d’autres ont voulu assassiner. 1 € reversé pour chaque exemplaire vendu, à l’association « Aide Médicale au Toit du Monde », qui envoie gratuitement des médecins pour soigner les Tibétains sans ressources.
Le Pays des chevaux célestes (tome 1) de Chris Jensen, dans la Chine ancienne, Zhang Qian parti en quête du royaume de Xiwangmu où résident les immortels, est capturé par les nomades des steppes, tombe amoureux d’une jeune beauté et devient le disciple d’un dangereux chamane. Erudition étourdissante pour une épopée de l’empire des Han.
La scandaleuse histoire de Penny Parker-Jones de Stéphanie des Horts, dans le Londres des années 60 une call girl ravissante fait tourner les têtes des membres du gouvernement. Style enjoué et piquant pour un premier roman.
Norman Mailer, un prophète américain de Gwendolyn Simpson Chabrier. Auteur mythique de l’Amérique d’aujourd’hui, Mailer l’Imprécateur invective les femmes, le racisme, la judéité, la sexualité, les gouvernants de son pays d’adoption, enfin, tout ce qu’il aime avec passion mettre en question!
Parlez-moi d'amours de Jean Cléder et Mathilde Nobilet. De Michael Lonsdale à Benoît Jacquot, de 10 ans à 96 ans, anonymes ou célèbres, ils sont vingt à avoir répondu aux mêmes quatorze questions sur leurs histoires d'amour. Un ouvrage multicolore à savourer sans modération.
Le Pays des chevaux célestes (tome 2) de Chris Jensen. Zhang Qian poursuit sa conquête des peuples nomades dans la Chine ancienne. Il découvre des peuplades fabuleuses, le grand amour, et une race de chevaux inconnus d'une beauté rare.
Paris-Berlin : le grand écart de Christiane Germain. Une petite fille, entre sa mère française, danseuse acrobatique, et son père allemand, pendant la guerre de quarante, survit aux évènements très durs au gré de la fantaisie irréductible de sa mère. Un aperçu émouvant du lien franco-allemand.
Mon enfant du Mexique de Carole Weissweiller. L'itinéraire plein de fous-rire et de larmes d'une adoption réussie au Mexique, par celle qui écrivit "Je l'appelais Monsieur Cocteau". Carole, fille de la grande Francine Weissweiller, qui reçut Cocteau dans sa villa de Santo Sospir, vit aujourd'hui le grand amour avec son fils Arthur.